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 Alerte info  Plus de 300 morts et des centaines de disparus au Japon Séisme au Japon : les centrales nucléaires en état d'alerte 
11/03/2011 19:49
  
 
  
Le Japon a subi un séisme d'une magnitude de 8,9 suivi d'un tsunami. Des vagues de 10 mètres ont frappé le nord-est du pays. Lire la suite l'article  
Cet article est régulièrement mis à jour, pensez à rafraîchir la page. 
Un puissant séisme d'une magnitude de 8,9 sur l'échelle ouverte de Richter s'est produit ce vendredi au large des côtes du Japon, générant une alerte générale au tsunami. Des vagues jusqu'à dix mètres de haut ont frappé les côtes est du pays, en particulier la région de Sendaï, emportant des véhicules et détruisant des bâtiments. (Voir la vidéo, spectaculaire) 
Les dégâts sont déjà considérables au Japon, avec des installations pétrochimiques en flammes dans l'est du pays et l'annonce de premières victimes (288 morts et 349 disparus), selon les médias japonais. (Voir la vidéo du village de Kesennuma en feu) 
 Quel est le risque pour les centrales nucléaires touchées ?  
L'état d'alerte nucléaire est décrété, rapporte l'AEIA (Agence internationale de l'énergie atomique), alors que quatorze réacteurs dans quatre centrales sont affectés. Si les autorités de sûreté nucléaire japonaise affirment que « les centrales ont été mises à l'arrêt » et qu'« aucune fuite radioactive n'est recensée », il y a quand même des raisons de s'inquiéter. 
Près de la centrale de Fukushima, quelque 6 000 personnes ont été évacuées, dans une zone qui s'étend jusqu'à 3 km autour de la centrale. « Ce n'est pas par hasard », souligne Mycle Schneider, consultant international en énergie et politique nucléaire. Selon l'agence NHK : 
« Tepco [la compagnie d'électricité de Tokyo qui exploite la centrale, ndlr] précise que la défaillance d'un matériel a rendu impossible le refroidissement de deux réacteurs de la centrale numéro un de Fukushima. L'entreprise précise qu'elle n'a pas assez de courant pour refroidir les réacteurs, qui se sont arrêtés automatiquement au moment du séisme. » (Voir la vidéo de NHK) 
Mycle Schneider précise que le problème de refroidissement du réacteur à eau bouillante de la centrale construite dans les années 60 peut devenir « extrêmement grave » : 
« Sans courant, il n'y a pas d'évacuation possible de la chaleur résiduelle, ce nest pas comme une voiture qui s'arrête si l'on coupe le moteur. La chaleur résiduelle correspond jusqu'à 7% de la puissance du réacteur, et il y a un risque de fusion du cur si l'on ne .
 
 
 
 
 
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LAURENT GBAGBO :"il y a un complot contre moi" 
28/12/2010 17:08
  
 
  
INTERVIEW - Le président ivoirien sortant rejette les menaces d'intervention militaire brandies par ses voisins.  
 
La menace d'une intervention militaire en Côte d'Ivoire se précise.  Vendredi, à l'issue d'un sommet exceptionnel de la Communauté économique  des États d'Afrique de l'Ouest (Cédéao), les présidents de la région ont à nouveau enjoint Laurent Gbagbo de quitter le pouvoir.  La Cédéao s'est dite prête à utiliser la «force légitime» et a évoqué  des poursuites internationales contre les responsables des violences à  Abidjan. Une mission diplomatique est attendue mardi dans la capitale  économique ivoirienne, composée des présidents béninois, sierra-léonais  et cap-verdien, pour tenter de convaincre le président sortant de  quitter le pouvoir. 
 LE FIGARO. - La Cédéao a menacé d'utiliser la force si vous ne renonciez pas au pouvoir. Prenez-vous cette annonce au sérieux ?
Laurent GBAGBO. - Toutes les menaces doivent êtres  prises au sérieux. Mais, en Afrique, ce serait bien la première fois que  des pays africains seraient prêts à aller en guerre contre un autre  pays parce qu'une élection s'est mal passée ! Regardez un peu la carte  de l'Afrique, regardez où ça se passe plus ou moins bien, ou plus ou  moins mal, et regardez là où il n'y a pas d'élection du tout. Si on  devait aller en guerre dans tous ces cas-là, je crois que l'Afrique  serait perpétuellement en guerre. Donc je prends au sérieux les menaces  mais je reste tranquille. J'attends de voir.
 Vous ne croyez donc pas à la possibilité d'une intervention militaire ?
Les gens peuvent déraper. Mais ils ont aussi décidé de m'envoyer une  délégation. On aurait dû commencer par là. On aurait économisé beaucoup  de malentendus. Il faut venir voir ce qui se passe en Côte d'Ivoire.  Quand on a vu, alors on prend une décision. Ici, nous avons des lois,  nous avons une Constitution, des règles. C'est ça qui fait une élection,  comme dans tous les pays modernes. Et selon cette Constitution, c'est  moi qui suis élu président de la République de Côte d'Ivoire. C'est  tout, et c'est simple.
 Est-ce pour vous la condition préalable à une solution pacifique ?
Je ne pose jamais de préalable à une discussion. Il faut aller au  fond des choses. Moi je constate que les règles en vigueur dans ce pays,  qui n'ont jamais été discutées par qui que ce soit, font que je suis  président de la République. Je mettrai ça sur la table. Avant, personne  ne se plaignait du Conseil constitutionnel.
 Outre la Cédéao, l'organe financier régional, l'Umoa, a décidé de transférer une partie des pouvoirs à Alassane Ouattara…
C'est gênant, mais il y a toujours une solution. Dans ce domaine qui  est très délicat, il faut mieux ne pas parler. Mais ce n'est pas la  Banque centrale africaine qui paye les salaires des fonctionnaires.  C'est l'argent de la Côte d'Ivoire. La décision de l'Umao n'a aucun  sens.
 Vous mettez aussi en cause l'objectivité de l'ONU, dont vous demandez le départ. Comment comptez-vous forcer l'Onuci à partir ?
Je l'ai dit. J'ai demandé ce départ par voie diplomatique et nous  l'obtiendrons par voie diplomatique. On va discuter. Ce n'est pas par la  guerre que l'on va obtenir cela. Ici, l'ONU et son chef se sont montrés  partisans. Or l'ONU devait être une force impartiale. Ces forces sont  maintenant partisanes, on se demande ce qu'elles font là.
 Vous vous sentez victime d'un complot ?
Avant qu'on aille aux élections, j'avais demandé que l'accord de  Ouagadougou soit appliqué. Si j'ai fait ma part, je demande que les  autres fassent leur part en désarmant. Cela n'a pas été fait. Puis tout  le monde s'entête pour que l'on vote quand même. Là, on peut parler du  début du complot. On me dit : le désarmement, ce n'est pas très grave et  moi-même je n'avais pas de raison de douter des rebelles avec lesquels  je gérai la sortie de crise et qui se comportaient de façon loyale. Je  ne pensais pas qu'ils utiliseraient les armes pour pervertir les  élections à venir. Ensuite les institutions sont en place. Elles  proclament le résultat et là tout le monde dit que c'est Alassane  Ouattara qui est reconnu…
 Qui sont les acteurs de ce complot ?
C'est surtout l'ambassadeur de France et l'ambassadeur des  États-Unis. (…). Ils sont allés chercher Youssouf Bakayako, le président  de la Commission électorale indépendante, pour le conduire à l'hôtel du  Golf qui est le quartier général de mon adversaire. Là-bas, alors qu'il  se trouve hors délais et tout seul, ce qui est grave, on apprend qu'il a  dit à une télévision que mon adversaire est élu. Pendant ce temps-là,  le Conseil constitutionnel travaille et dit que Laurent Gbagbo est élu. À  partir de là, Français et Américains disent que c'est Alassane  Ouattara. C'est tout ça que l'on appelle un complot.
 C'est le discours que vous tiendrez mardi à la délégation de chefs d'État envoyée en Côte d'Ivoire par la Cédéao ?
Ce sont les faits ! Et je dirai les faits en toutes circonstances !  Je ne cherche pas à convaincre. Je leur dis de vérifier la matérialité  des faits. Quand les gens se détachent des faits, c'est qu'ils ne  veulent pas la vérité. Je ne comprends pas pourquoi ils cherchent à  créer un conflit, (…) pourquoi ils poussent à un affrontement interne.
Le porte-parole du gouvernement évoque un risque de guerre  civile si la Cédéao intervient, un risque pour les communautés  étrangères, africaines et européennes, vivant en Côte d'Ivoire…
S'il y a un désordre intérieur, une guerre civile, il y aura des  risques, car nous n'allons pas laisser piétiner notre droit, notre  Constitution, ça il faut que cela sorte de la tête des gens. Nous  n'avons pas peur. C'est nous qui sommes agressés. C'est nous qui avons  le droit pour nous. Jusqu'où ceux qui nous agressent sont-ils prêts à  aller ? Quand j'ai été attaqué en 2002, nous n'avons vu ni la France, ni  les États-Unis, ni la Cédéao prendre la moindre sanction. Les  agresseurs de l'époque étaient connus. Tout le monde était sourd et  muet, comme les singes de la parabole. Ce qui se passe aujourd'hui est  la continuation de l'agression de 2002. Aujourd'hui ils retrouvent tous  la parole et ils disent «haro sur Gbagbo». Mais Gbagbo, il a le droit  avec lui !
 L'ONU parle tout de même de 173 morts dans des affrontements, de cas d'enlèvements, d'exécutions extrajudicaires…
En 2000, quand j'ai pris le pouvoir, les mêmes gens avaient sorti des  histoires de charnier à Yopougon, des assassinats. On avait demandé à  l'ONU de faire une enquête. Il y avait eu un rapport. Le fond du débat  aujourd'hui, c'est : qui est élu ? Et comme on ne veut pas de ce débat,  on glisse vers les entraves aux droits de l'homme, les assassinats. Il  faut constater la similitude entre 2000 et 2010. Je vais demander au  ministre de la Justice d'ordonner des enquêtes. On n'a pas peur de ce  débat.
 La CPI pourrait-elle se joindre à cette enquête ?
Lors des discussions de paix de Marcoussis en janvier 2003, un chef  d'État voisin, qui vient d'être réélu à 80 %, avait déjà dit que je  devais être livré à la CPI. C'était succulent venant de lui. Peut-être  aurais-je dû me faire élire à 80 %, j'aurais été moins suspect.  Aujourd'hui, en 2010, c'est le même scénario. Je ne suis pas surpris. Il  y a un complot qui vise à installer Ouattara au pouvoir.
 Des pays africains aussi, comme le Nigeria, demandent votre départ…
Je ne veux pas parler de cela. Dans les réunions des pays africains,  les représentants des pays occidentaux sont plus nombreux dans les  couloirs que les Africains. Les pressions sont énormes. On n'en peut  plus. Et quand on subit ce que je subis, on se dit que Mugabe (toujours  président du Zimbabwe, malgré sa défaite aux élections, NDLR) n'avait  pas totalement tort.
 
 
 
 
 
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Lancement avec succès en Guyane Française du satellite africain 
12/08/2010 15:33
  
 
  
Le Ministre des Postes et Télécommunications,  Jean-Pierre BIYITI bi ESSAM, a le plaisir d’informer le public du  lancement avec succès, le 04 août 2010, à Kourou en Guyane Française, du  satellite africain RASCOMSTAR-QAF 1R (lire RASCOMSTARKAF 1R) exploité  par l’opérateur panafricain RASCOMSTAR QAF.Ce satellite vient remplacer  celui qui a été lancé au mois de décembre 2007 et dont la durée de vie a  été réduite à trois (03) ans en raison de problèmes techniques.Le  satellite actuel permettra de fournir pendant au moins 15 ans, les  télécommunications modernes de très bonne qualité partout sur le  continent africain y compris dans les zones rurales les plus isolées. Il  fournira notamment les services de téléphonie,  de transfert de  données, de connexion à l’Internet, de radiodiffusion sonore et de  l’Internet. Ce satellite permettra également aux opérateurs de  télécommunications africains d’établir des liaisons interurbaines et  internationales au sein du continent africain. 
Avec son système satellitaire, RASCOMSTAR-QAF  contribue à la réduction de la fracture numérique et offre à toutes les  populations du continent africain l’opportunité de prendre effectivement  part à la société mondiale de l’information et du savoir.
Le Ministre des Postes et Télécommunications  rappelle au public que le nouveau satellite est lancé en 2010, année  déclarée « Année des TIC » par les dirigeants africains lors de la 14ème  réunion ordinaire des Chefs d’Etats et de Gouvernements africains en  janvier 2010 à Addis-Abeba en Ethiopie./.
© Correspondance : Cellule de Communication du Ministère des Postes et Télécommunications
 
 
 
 
 
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