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le cameroun à la coupe du monde 2010
07/12/2009 12:23
Mondial 2010 : les chances des équipes africaines et celles du Cameroun sont intactes, selon un consultant (ANALYSE)
Les chances de l'équipe du Cameroun et celles des autres équipes africaines pour accéder au second tour de la Coupe du monde 2010 après la répartition des poules sont intactes, a analysé samedi Fabien Bobo, ancien joueur de football et consultant à la télévision camerounaise approché par Xinhua.
« Les chances des pays africains sont intactes parce qu'aucune des 5 équipes sur les 6 en compétition, n'est arrivée à se qualifier par le hasard. Les grandes nations de football du continent à savoir le Cameroun, le Nigeria, le Ghana et la Côte d' Ivoire sont là. Bien plus, rien n'exclut que la surprise peut également venir des deux petits poucets que sont : l'Algérie et de l'Afrique du Sud », a déclaré le consultant.
S'agissant de l'Afrique du Sud, pays organisateur qui joue dans la poule A, a souligné l'ancien joueur de football, malgré son manque d'expérience des grandes compétitions, elle part avec un atout solide, celui de jouer devant un public entièrement acquis à sa cause.
« Grâce à cet atout, cette équipe a de fortes chances d'aller au second tour. L'Afrique du Sud, on s'en souvient, a fait une bonne impression lors de la dernière coupe des Confédérations jouée au mois de juin dernier sur son sol », a déclaré M. Bobo.
Concernant la poule B dans laquelle se trouve le Nigeria, le consultant reconnaît que c'est une poule relevée. « L'Argentine est favorite de cette poule mais le Nigeria a son mot à dire », a- t-il dit.
« Même si la qualification va se jouer au couteau, je vois le Nigeria en train de contrer la Corée du Sud et la Grèce et aller au second tour accompagné de l'Argentine », a-t-il poursuivi.
Seulement, a-t-il dit, l'accent doit être mis sur la discipline et l'organisation de cette équipe car, le point faible du Nigeria qui dispose de très grands joueurs, réside sur la discipline au sein des rangs et sur son organisation.
Concernant la poule C de l'Algérie, le pays revient certes à la Coupe du monde 24 ans après, a-t-il reconnu, mais a son destin en mains.
« L'Algérie a de jeunes joueurs, elle a prouvé qu'elle avait des ressources. On l'a vu face à l'Egypte lors des éliminatoires. Elle devra négocier son passage au second tour devant la Slovénie et les Etats-Unis avant d'aborder l'Angleterre le favori de la poule. C'est la clé de sa survie dans la compétition », a analysé l'ancien joueur.
La deuxième place de la poule C, a-t-il souligné, va se jouer entre l'Algérie et les Etats-Unis.
La poule D dans laquelle joue le Ghana est dure. « Le Ghana va jouer avec des équipes coriaces et difficiles à battre telles que l'Allemagne et la Serbie », a-t-il expliqué.
« Le Ghana devrait batailler dur pour s'en sortir dans cette poule. Il l'a fait lors de la Coupe du monde 2006 en Allemagne, c' est encore possible. A condition cependant de gagner son premier match car, c'est ce match qui met en confiance», a-t-il souligné.
La poule G dans laquelle se trouve la Côte d'Ivoire, a dit le consultant, est la plus difficile de toutes les poules de cette compétition.
« Les favoris sont sans nul doute le Brésil et le Portugal, mais la Côte d'Ivoire peut jouer les troubles fêtes dans cette poule. L'équipe de Côte d'Ivoire dispose de grands joueurs qui jouent à un très haut niveau. Mais comme je l'ai dit avec le cas du Ghana, il revient aux éléphants de Côte d'Ivoire de prouver qu' ils méritent d'aller au deuxième tour », a-t-il déclaré.
« La survie de cette équipe dans la compétition passe devant le Portugal qu'elle affronte lors du premier match. Une victoire et dans le pire des cas un nul peut amener les éléphants à franchir le premier tour », a-t-il poursuivi.
LE CAS DU CAMEROUN
« Le Cameroun s'il est bien organisé, a un mot à dire dans la poule E. Une bonne préparation physique, mentale et une grosse envie d'aller loin, voilà la clé de succès de l'équipe du Cameroun pour franchir cap premier tour », a expliqué Fabien Bobo.
A cela, a-t-il poursuivi, il faut ajouter la discipline tactique, élément essentiel sur le terrain car le football moderne est basé sur le jeu rapide.
Or, a-t-il souligné, la faiblesse de l'équipe du Cameroun réside dans son jeu lent. Il faudrait que cette équipe apprenne à jouer rapide.
L'équipe des Pays-Bas part avec les faveurs des pronostics dans la poule E et la deuxième place va se jouer entre le Cameroun et le Danemark. ●Coupe du monde de football Afrique du Sud 2010
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SORTIE DE LA 48eme PROMOTION DE L'ENS DE YAOUNDE
25/11/2009 11:24
Techno-pédagogue : Arrimer les élèves aux Tic
C’est à cette tâche que se destine la première promotion sortie de l’Ens le 20 mai dernier.
Sur les 1627 étudiants de la 48ème promotion de l’Ecole normale supérieure de Yaoundé sortis le 20 novembre 2009, une curiosité a frappé l’assistance du palais des sports de Yaoundé qui abritait la cérémonie : c’est la filière informatique. Subdivisée en deux sous filières, l’informatique Tic et l’informatique fondamentale, cette matière est à sa première promotion. «Les techno-pédagogues comme on les appelle, ne sont plus les professeurs d’informatique qu’on connaissait avant. Ils sont d’une part formés pour permettre aux différentes filières qui constituent l’ensemble du système éducatif de s’arrimer aux Tic, et donc de permettre aux enseignants de délivrer des enseignements à partir des supports informatiques. D’autres parts, il est question de permettre à l’élève d’apprendre à travailler dans toutes les situations avec ces supports», explique Marcel Fouda Ndjodo, chef de département informatique et des technologies éducatives.
L’entrée dans cette filière n’exige aucune connaissance scientifique. Tous les domaines de l’éducation sont les bienvenus, car, comme l’indique le major de la première promotion, Virginie Blanche Ngah, il est question d’adapter les méthodes informatiques à toutes les filières de l’enseignement. «L’objectif de notre formation est de faire de l’informatique un choix pour tous les élèves. Il est question de les intéresser à cette discipline non plus avec l’informatique pure, mais de leur apporter les bienfaits de cette discipline dans leurs matières. Pour cela, il faut faire reculer les barrières et les réticences que les gens développent autour des Tic en suscitant de l’intérêt, en aidant à la compréhension de ce que nous proposons et en accompagnant leur apprentissage», précise le major de la promotion.
La formation, qui s’étale sur deux années, tourne autour de quatre pôles : l’informatique, l’e-training, les sciences de l’éducation, et la gestion des projets. «Nous concevons des didacticiels, des jeux vidéos en 2D et 3D, et bien d’autres programmes d’enseignement. Nous sommes les ouvriers de la rupture des pratiques anciennes, pour arrimer l’école, les élèves et les enseignants aux pratiques modernes», insiste Virginie Blanche Ngah. Pour elle, la plus grande difficulté de leur travail réside dans la peur que développent les uns et les autres sur les inconnues. «Les gens ont peur et repoussent parfois ce qui est nouveau. Notre mission consiste à maîtriser le système éducatif afin de sortir progressivement l’école de l’approche techno centrée.
Pour cela, le techno-pédagogue doit élever ses connaissances un cran au-dessus de celles des autres enseignants».
Discipline transversale de tout le système éducatif, la techno-pédagogie permettra, selon les explications de Marcel Fouda Ndjodo, d’outiller les enfants sur les avantages qu’offre l’informatique. «Depuis qu’on apprend l’informatique dans les écoles, les élèves n’évoluent parce qu’il n’y avait pas de techno-pédagogues. Maintenant, avec leur arrivée, les élèves risquent d’aller plus vite, car ils auront la possibilité de se frotter à l’outil informatique et aux avantages de la techno-pédagogie dès le bas âge», explique le chef de département.
Pierre Célestin Atangana
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RECRUTEMENT A LA FONCTION PUBLIQUE
01/09/2009 12:58
Informations |
Tout en luttant contre le chômage des jeunes, ces recrutements visent à résorber les problèmes spécifiques des ministères. Dans une sortie médiatique le week-end dernier, Emmanuel Bonde, ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative a annoncé, pour la période 2009-2010, le recrutement par l’Etat de 13 000 personnels, toutes catégories confondues. Ce chiffre concerne non seulement les recrutements déjà entamés, mais aussi ceux à venir. En effet, environ 4000 personnels ont déjà été absorbés par la Fonction publique dans les secteurs de la santé et de l’informatique. Pour les modalités, elles vont de l’intégration sur titre à la contractualisation, en passant par les concours directs, les concours de formation et autres.
Les concours professionnels sont réservés aux fonctionnaires en activité. Ici la promotion en grade ou le changement de cadre sont privilégiés. Quant aux concours spéciaux, ils permettent la promotion des personnels de l’Etat relevant du code du travail (contractuels, agents contractuels, etc.). C’est donc au total 1870 personnels qui sont appelés à connaître une promotion interne.
Mais le plus grand nombre revient aux concours de formation et recrutements dits nouveaux, soit environ 8300 personnels. L’intégration sur titre concerne les lauréats des concours administratifs tels que l’ENAM et dans une certaine mesure l’Ecole normale supérieure. Celle-ci comprend les concours de formation ayant pour finalité le recrutement à la Fonction publique. Mais aussi les concours directs pour absorber des techniciens déjà formés et les tests de sélection en direction des personnels de l’Etat relevant du code du travail. Ces personnes ayant en commun le fait de n’avoir jamais exercé à la Fonction publique avant leur enrôlement. Le but étant de combler le manque de personnel exprimé par les différents ministères. Un déficit dû entre autre au départ en retraite, dont la moyenne annuelle est de 5000 depuis quelques années.
Pour ce qui est du déroulement de ces recrutements, si certains ont déjà été faits, un calendrier définitif reste à préciser pour la grande majorité. Même si au ministère de la Fonction publique et de la Réforme administrative on avoue avoir accusé un retard sur les prévisions de début d’année. Il y a également la contractualisation, pour faire face entre autres à la limite d’âge. Et par rapport à ce volet, le processus d’engagement définitif des temporaires, est en bonne voie. Actuellement le dossier des primes de bonne séparation pour les temporaires non retenus est en cours. Pour Germain Koukolo, directeur du développement des ressources humaines de l’Etat, dès que leurs diplômes seront authentifiés, ils seront payés.
Jocelyne NDOUYOU-MOULIOM, Cameroon Tribune |
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