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LE PALAIS DES SPORTS DE WARDA A YAOUNDE
14/08/2009 17:12
Cameroun: Le palais des sports de Yaoundé inondé
Par Sandrine Gaingne - 26/05/2009
C’est suite aux pluies qui sont tombées pendant la nuit du 24 mai et la matinée du 25 mai 2009
Décidément, la série noire des inondations au centre ville de Yaoundé n’en finit pas. Le Mfoundi est encore sorti de son lit suite à une pluie torrentielle qui s’est abattue sur la cité capitale au cours de la nuit du 24 mai à la matinée du 25 mai2009. Une inondation qui a interrompue la circulation à certains endroits au centre ville notamment au niveau de la poste centrale et au niveau du carrefour Warda, où le nouveau palais des sports a subit les foudres de cette pluie.
Il était difficile pour les véhicules de s’aventurer dans la marre d’eau qui recouvrait le palais des sports et ses environs jusqu’à 11 heures du matin. Ce sont quelques piétons courageux qui ont pu le faire et là alors, ils avaient de l’eau jusqu’aux hanches, et étouffés par les ordures ménagères et d’autres déchets. Quand les eaux sont descendues, des responsables du ministère des Sports et de l'Education physique et ceux de la Communauté urbaine de Yaoundé (Cuy) se sont retrouvés en mi-journée sur les lieux de l'inondation. Au terme des échanges entre les différentes parties, il ressort qu'il faut dégriller en urgence la bouche de l'Ekozoa afin que les eaux puissent librement circuler. Il est aussi question d'aménager le canal de l'Abierge, lui-même enterré par les immondices et la terre. Approchés par la partie camerounaise pour la réalisation de ces travaux, les Chinois ont répondu par la négative dans ce sens que lesdits travaux ne rentrent pas dans leur cahier de charges. Celui-ci, ne prévoit que l'aménagement des cours d'eau à l'intérieur du Palais des Sports.
© Journalducameroun.com Palais des sports de warda, Yaoundé
Aménagement du Mfoundi Les populations de Yaoundé ont nourrit l’espoir de voir le centre ville sans inondations, depuis que le Projet d’assainissement de Yaoundé (pady) a lancé le 25 février 2009, le projet sur la construction du canal du Mfoundi. Une initiative qui visait à résoudre définitivement l’épineux problème des inondations constamment vécues par les populations et qui bloquent généralement la circulation, dans le centre ville notamment au niveau du carrefour de la poste centrale. Ce travail de recyclage du lit du Mfoundi qui devrait rendre plus fluide l’écoulement des eaux et éviter les inondations et les débordements du lit était alors considéré comme une véritable thérapie d’un mal qui donnait à Yaoundé un visage peu reluisant en saison pluvieuse. Le 5 mai dernier, une forte pluie avaient inondé le centre ville, remettant en cause les délais de finition des travaux. Car d’après les ouvriers qui travaillent en ce moment sur ce chantier, à chaque grande pluie, les travaux recommencent à la case départ. Selon Hilaire Fonkem, le porte parole du chef chantier, on ne sait pas si on pourra livrer le projet à temps, malgré les heures supplémentaires du personnel visant à rattraper le temps perdu. Le moins que l’on puisse dire est que le chantier est au ralenti, et avec le retour des pluies, les Yaoundéens pourraient assister, à un arrêt définitif des travaux de ce chantier au lieu dit abattoir. La solution évoquée par certains riverains était de procéder à des déviations, mais celles-ci pourraient d’avantage endommager les installations.
SOURCE/ le journal du cameroun
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emeutes de février 2008: un an après
24/02/2009 15:59
Dernière mise à jour: 20 Mars, 2008 - Heure de publication 17:12 GMT
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Cameroun : un pays en crise
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Mamadou Moussa Ba BBC Afrique
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Les observateurs craignent de nouveaux actes de violence
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Après 25 ans de règne à la tête du Cameroun, le régime du président Paul Biya, est de plus en plus confronté à des mouvements de protestation.
La constitution camerounaise stipule que l’actuel chef de l’Etat ne peut plus briguer un nouveau mandat en 2011.
Mais même s'il y a des voix discordantes au sein de sa propre formation, M. Biya devrait, sans difficulté la faire modifier car il contrôle d'une main de fer son parti, le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC), majoritaire à l’Assemblée.
Certains observateurs craignent, dans ce contexte, une aggravation de la tension à l'image de ce qui s'est passé en Côte d'Ivoire et au Kenya.
Déjà, les émeutes qui ont secoué au mois de février les grandes villes du pays sont les pires que le pays a connu depuis près d'un quart de siècle.
Les manifestants protestaient contre la hausse des prix de l'essence.
Et après une grève générale de 48 heures, les autorités tentent de calmer la tension en décidant de revoir ces prix à la baisse.
En Vain. Les manifestations prennent ensuite une tournure politique.
Mboua Massock, initiateur de l'opération ''Villes mortes'', et qui a dirigé des mouvements de contestation contre le régime au début des années 90 est aussitôt arrêté.
De son côté, le principal parti de l’opposition de l'anglophone, John Fru Ndi du Social democratic front (SDF), exprime son hostilité à toute réforme de la constitution.
De nombreuses organisations de la société civile s'y opposent aussi.
Après plusieurs jours de pillages et de destruction, la police et plus tard l'armée ouvrent le feu sur les manifestants. Bilan officiel : près de 20 morts.
Beaucoup plus selon les associations de défense des droits de l’homme.
Pendant plus de 20 ans de règne, le Président Paul Biya a souvent utilisé la méthode forte pour étouffer les mouvements de contestation.
Lorsque les manifestations contre la modification de la constitution ont commencé, le gouverneur de la province du Littoral, Fai Yengo Francis, a tout simplement décidé d’interdire les rassemblements à Douala, la capitale économique.
Les manifestants en colère, réagissent en érigeant des barricades, ils détruisent des biens publics et se livrent à des actes de pillages.
Des médias sous contrôle

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Les populations dénoncent la vie chère
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Le régime exerce un contrôle sévère sur les médias.
Le ministre de la communication, Jean-Pierre Biyiti Bi Essam, n'a pas hésité à envoyer des soldats pour fermer deux stations de radio et télévision.
Il s'agit d’Equinoxe à Douala et de Magic Fm à Yaoundé.
Motif : les deux stations n'auraient pas payé la licence de 100 millions de Francs CFA, requise par le gouvernement.
Mais selon le rédacteur en chef d'Equinoxe, Charles Akoh, la raison se situe ailleurs.
Les autorités n'auraient pas apprécié la liberté de ton de la station lors des manifestations anti-gouvernementales.
Comme si cela ne suffisait pas, le ministre convoque aussi des responsables de certaines publications menaçant de fermer leurs journaux s'ils continuent à s’attaquer au gouvernement.
Au plus fort de la crise, le Président Paul Biya, affirme dans les medias d'Etat que l'opposition ''tente d'obtenir par la violence ce qu'elle n'a pas pu réaliser à travers les urnes'' et menace du coup de prendre des actions sévères contre les fauteurs de troubles.
Le dirigeant de l'opposition, M. Fru Ndi nie toute implication dans les troubles mais affirme son soutien aux manifestations contre la '' hausse injustifiée des prix de l'essence''.
La succession en question

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Le Chef de l'Etat souhaite briguer un nouveau mandat
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Aujourd’hui, le problème de la succession se pose avec acuité, car le Président Biya n'a visiblement pas de dauphin.
Après le coup d'Etat avorté de 1984, Bello Bouba Maigari, le premier ministre d'alors et probable successeur, avait été limogé du gouvernement et son poste supprimé.
Originaire de la province du Nord, Bello Bouba était soupçonné de soutenir l'ancien Président Ahmadou Ahidjo.
Après cet épisode, M. Bello Bouba s'enfuit au Nigeria. A son retour, il est nommé ministre des postes et des télécommunications.
Depuis, ses critiques contre le gouvernement se font rares.
Titus Edzoa, qui a été secrétaire général de la présidence et un confident de Paul Biya, démissionne de son poste de ministre de la santé en 1997 pour se présenter à la présidentielle mais il sera arrêté.
Aujourd’hui il est incarcéré pour détournement de fonds.
Ayissi Mvondo, qui voulait se présenter aussi contre Paul Biya est décédé dans des conditions jugées mystérieuses.
Célestin Monga, un économiste, très critique contre les politiques économiques du président, a échappé à un procès; il vit aujourd’hui en exil.
Tous les détracteurs du régime sont considérés comme des personnages antipatriotiques.
En février dernier, le Président les a accusé de manipuler les jeunes, les qualifiant ''d'apprentis sorciers''
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canal d'or 2008
14/02/2009 17:35
c'est en avril prochain que débutera la 5eme édition de canal d'or.on des nomin"zs parmi les catégories suivantes:
Révélation Musicale |
Artiste ou Groupe de Rap |
Artiste ou Groupe d'Expression Traditionnelle |
Artiste de la Diaspora |
Meilleur Sitcom |
Meilleur Humoriste |
Artiste Comédienne |
Artiste Comédien |
Meilleur Vidéogramme |
Meilleur Come back |
Prix Spécial |
et ils sont très nombreux à discuter les trophées.parmi tous ces nominés, on peut citer des atistesqui reviennent comme
prince éyango
nono flavie
lady ponce
majoie ayi
bref.........ce sera chaud!!!
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LE PRESIDENT DU COMITE D'ORGANISATION |
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