venez partager

VIP-Blog de alex1love

venez partager
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

alex_toko@yahoo.fr

19 articles publiés
dans cette catégorie
11 commentaires postés
1 visiteur aujourd'hui
Créé le : 30/10/2007 14:57
Modifié : 26/07/2014 03:16

Garçon (23 ans)
Origine : douala cameroun
Contact
Favori
Faire connaître ce blog
Newsletter de ce blog

 Juillet  2025 
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
30010203040506
07080910111213
14151617181920
21222324252627
282930010203

Mes blogs favoris

serieminou


| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |

[ mon pays ] [ mon job a domicile ] [ mon idole ] [ my life ] [ boulevard des stars ] [ tout sur le sport ] [ poemes ] [ actualités ] [ tous les videos ]

regard de charme

27/07/2010 20:31

regard de charme


c'est vrai qu'elle a un regard que j'aime bien.mais elle devient de plus en plus extravagante




Les bulldozers pavent la route de l’intégration en Afrique centrale

19/07/2010 21:09

Les bulldozers pavent la route de l’intégration en Afrique centrale


N’DJAMENA, 16 juillet 2010—A Brazzaville en République du Congo s’est tenu, le 7 juin 2010, un sommet extraordinaire de la Communauté Économique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC) afin de propulser davantage la dynamique d’intégration au sein de ce groupement sous-régional qui compte six États membres. Environ trois mois plus tôt, les deux pays les plus enclavés de la CEMAC, la République centrafricaine (RCA) et le Tchad, ont franchi une étape décisive en vue de se rapprocher davantage du Cameroun. L’événement n’est pas passé inaperçu ce 19 mars 2010 dans le petit village de Baboua (Sud RCA) non loin de la frontière camerounaise : visiblement dans ses beaux jours, le président de la RCA, François Bozize, harangue la foule du haut d’un bulldozer à l’occasion de la cérémonie de pose de la première pierre. « Populations de Baboua, c’est la fin de vos souffrances qui est annoncée ! », annonce-t-il. Deux jours plus tard à Dibi, côté camerounais, c’est au tour des autorités locales d’apporter la bonne nouvelle aux milliers de villageois rassemblés pour la circonstance : « bientôt vos villages seront connectés au reste du pays et du monde », a lancé un maire camerounais. Dans les deux cas, l’événement consistait à la pose de la première pierre du bitumage du tronçon le plus attendu de tous sur les corridors Douala-N’Djamena et Douala-Bangui, à savoir l’axe Garoua Boulai-Ngaoundéré (Cameroun). Il s’agit d’un tronçon long de 254 km qui pose le plus de difficultés aux transporteurs à l’intérieur du Cameroun avant de déboucher sur Ngaoundéré. Son bitumage sera d’un apport important en termes de temps gagné pour routiers en partance pour N’Djamena (Tchad). Du côté de la RCA, le projet du bitumage le plus attendu porte sur l’axe Bouar-Garoua Boulai long de 157 km. Quant au pont sur le Logone destiné à relier le Tchad et le Cameroun et l’axe de 7 km qui va connecter la frontière camerounaise à N’Djamena, les installations de chantier sont terminées et les travaux sont lancés. Les pays ne sont jusque-là que reliés par un pont à une seule voie, rendant la traversée de la frontière difficile pour les camions. Au-delà des considérations techniques, c’est bel et bien le défi du brassage des populations que le Projet Régional de Facilitation du Transport et du Transit dans la zone CEMAC est en passe de relever. Financé initialement à hauteur de 201 millions de dollars par l’Association internationale pour le développement (IDA) – la branche du Groupe Banque mondiale qui finance les opérations dans les pays à faible revenu –, le projet a pour objectif de faciliter le commerce régional entre les pays membres de la CEMAC et améliorer l’accès des pays aux marchés mondiaux. Il vise également le renforcement de l’union douanière de la CEMAC et la réduction des obstacles physiques et autres le long des corridors Douala-N’Djaména et Douala-Bangui. Deux ans après l’accord initial, un financement additionnel de 217 millions de dollars a été approuvé en 2009 afin de combler les écarts de financement notés dans la réhabilitation des infrastructures routières et ferroviaires. Le projet s’inscrit dans le cadre d’une vaste initiative sous-régionale financée conjointement par l’IDA, la Banque africaine de développement et l’Union européenne. L’esprit d’intégration en marche Sur le terrain, la mise en œuvre du projet a commencé à bousculer certaines pratiques dans la sous-région. Au-delà des réalisations physiques, il est né « un nouveau mécanisme de transit qui semble s’installer dans la région », selon Idriss Goukouni, directeur-général des transports du Tchad. « Le transport et le transit sont désormais pensés dans leur environnement régional », a renchéri Noël Gbeba, conseiller au ministère de l’Équipement de la RCA. L’enjeu de ce projet est de taille car il constitue la réponse à la situation toute particulière de la région : « dans l’histoire des transports, les corridors Douala-Bangui et Douala-N’Djamena, ont été les plus difficiles à cause des harcèlements de tout bord et des kyrielles de taxes qui s’abattent sur le seul revenu du transporteur », s’est plaint Ngam Ousmane, gérant de Transimex, une entreprise basée à Douala. En définitive, « ce qui est plus important dans ce projet c’est qu’il a crée un dialogue entre nous et les acteurs du transit et du transport », a soutenu Christian Charles Ossono, officier supérieur aux douanes camerounaises. Les témoignages de ces responsables indiquent que quelque chose est entrain de changer sur les corridors qui relient le Cameroun, le Tchad et la RCA. Les esprits sont plus ou moins préparés, à en juger par la mobilisation des chauffeurs et les transporteurs dont les différents syndicats soumettent désormais des plateformes revendicatives communes qui ratissent au-delà de leurs frontières traditionnelles. « Grâce aux opportunités de contact qu’on a eues dans le cadre du projet, nous avons réussi à harmoniser nos différents points de revendication entre Camerounais, Tchadiens et Centrafricains », nous a expliqué Touk François Rève, président régional de l’Union Nationale des Camionneurs Professionnels du Cameroun. « Avec le projet, je peux me permettre d’avouer que la discipline qui manquait dans le comportement des chargeurs et chauffeurs commence à s’installer », s’est réjoui Laurent Nlemba, chef d’une station de pesage côté camerounais. Partage des connaissances et enrichissement mutuel L’esprit régional apparaît également dans nombre de rapports d’activités, fiches techniques et résultats de recherches sur la réalité des transits et transport dans la région qui circulent facilement entre les mains des experts et autres décideurs impliqués dans le projet. « Le nombre d’études de qualité réalisées dans le cadre de ce projet constituent pour la région en elles seules une mines de données dont l’exploitation efficace nous permettra de solutionner tout le problème de transit et de transport qui se pose dans la région », témoigne le Tchadien Goukouni. L’effet recherché par le Projet Régional de Facilitation du Transport et du Transit dans la zone CEMAC est en voie de maturation sur le terrain : un mouvement d’ensemble est amorcé autour des préoccupations liées aux mouvements des populations et marchandises au-delà des frontières. Cette idée est de plus en plus portée par les hautes autorités politiques. Lors de sa récente visite en RCA, la vice-présidente de la Banque mondiale pour la Région Afrique, Obiageli Ezekwesili, a eu droit aux mots de reconnaissance du ministre d’État au Plan à l’Économie et à la Coopération internationale, Sylvain Maliko. Pour lui, « ce projet est celui qui a le plus d’impact réel et immédiat sur nos populations et sur le désenclavement de la RCA, dont le réseau routier s’était retrouvé dans un état de délabrement avancé ». En effet, la RCA compte 24.000 km réseaux routiers dont 15.000 km de réseaux ruraux et 9 000 non praticables. Il y a 50 ans, la voie fluviale du pays était navigable 11 mois sur 12 sur le fleuve Oubangui, mais maintenant elle l’est à peine 7 mois sur 12. Les problèmes financiers sont omniprésents : le fonds d’entretien routier génère moins de six millions de dollars par an, montant insuffisant pour entretenir les routes en RCA ; et le gouvernement dépend entièrement de l’aide extérieure pour toute réhabilitation substantielle. Dès lors, il est évident que le projet revêt une importance cruciale pour ce pays. Le mouvement observé autour de ce projet, à travers l’intérêt affiché par les autorités politiques, les hiérarchies douanières et policières, les transporteurs et les chauffeurs semble marquer le commencement de l’intégration dans cette région d’Afrique centrale. « L’attente a été longue pour nous, nos partenaires et pour tous les cadres qui avaient donné le meilleur d’eux-mêmes pour rendre possible la mise en œuvre de ce projet », a expliqué Jean-François Marteau, chef d’équipe du projet pour le compte de la Banque mondiale. Les États membres de la CEMAC sont le Cameroun, le Gabon, la Guinée équatoriale, la République centrafricaine, la République du Congo et le Tchad.




le cinquantenaire du cameroun

21/05/2010 13:53

le cinquantenaire du cameroun


«J'en ai rien à faire du cinquantenaire de l’indépendance du Cameroun. On n'a même pas d'eau potable!»
10 commentaires
Créé le 20.05.10 à 17h25 -- Mis à jour le 20.05.10 à 17h27
Des Camerounais avec des chemises en l'honneur du président Paul
Biya, le jour des festivités des 50 ans d'accession à l'indépendance du
pays, le jeudi 20 mai à Yaoundé, la capitale.

Des Camerounais avec des chemises en l'honneur du président Paul Biya, le jour des festivités des 50 ans d'accession à l'indépendance du pays, le jeudi 20 mai à Yaoundé, la capitale. S. POUZET / 20 MINUTES

REPORTAGE - Le Cameroun commémore, ce jeudi, les cinquante ans de son indépendance à l'occasion de la fête nationale. Les festivités, très officielles, laissent un goût amer à la population.

De notre envoyée spéciale au cameroun

La scène semble résumer à elle seule l’ambiance de la commémoration organisée par le Cameroun pour les cinquante ans de son indépendance, célébrés aujourd’hui à l’occasion de la fête nationale. Une quarantaine de badauds sont massés au-dessus d’un terrain vague où s’amoncellent papiers et détritus, à Yaoundé, la capitale. En face se dresse le Hilton, l’hôtel de luxe où logent les personnalités étrangères invitées pour l’occasion.En contrebas se déroule le défilé. Certains sont venus par curiosité, d’autres parce que «c’est important». Mais tous se sentent mis à l’écart de cet anniversaire symbolique, que la plupart des habitants suivront à la télévision.

Dans le groupe, Patrice Njeng, 30 ans, venu avec son fils pour voir les chars et «vérifier si mon armée est assez solide pour nous défendre en cas d’attaque». Il ne s’attardera pas pour autant. Car pour lui, «cette commémoration est là pour montrer à la communauté internationale qu’il y a la paix et la sécurité, alors qu’à l’intérieur du pays cela ne tourne pas bien». Cinquante ans après l’indépendance du Cameroun, la «paix» vantée sur les banderoles dans la ville est bien réelle, mais la «prospérité» reste encore étrangère à la population.

La preuve, affirme Patrice Njeng: impossible de trouver du travail malgré son diplôme en biologie animale. «On m’a dit que ce n’est pas de la faute du président (Paul Biya, au pouvoir depuis 1982) mais de son entourage.» Il n’empêche, «un chômeur ne peut pas applaudir un homme à la tête de son pays. Tant qu’il restera au pouvoir, les riches resteront riches et les pauvres resteront pauvres». Il se dit d’autant plus «désespéré» que Paul Biya a modifié la Constitution pour pouvoir se représenter à la présidentielle en 2011. «On piétine la démocratie, ici», affirme-t-il calmement en observant le défilé.

Autour de lui, des dizaines d’habitants marchent d’un pas pressé. Toutes les rues alentour ont été fermées à la circulation jusqu’à l’aéroport. Quand une voiture du cortège présidentiel passe, tout le monde s’immobilise immédiatement. Une consigne des militaires. Un signe de tête, puis ils reprennent leur marche. Charles Tchoula, 71 ans, s’en agace: «Vous avez déjà vu un endroit où on s’arrête quand le président passe, vous?» Il marche depuis une heure à cause des routes bloquées. «Hier c’était déjà le cas, et là je subis le même sort. A chaque fois c’est pareil».

Lui ne s’arrêtera pas pour entr’apercevoir le défilé avec le reste du groupe. «J’en ai rien à faire du cinquantenaire, lâche le vieil homme. On n’a même pas d’eau potable! Cinquante ans après! Même pas de toilettes publiques, et regardez nos rues…» Il avait 21 ans quand le Cameroun est devenu indépendant. Mais déjà à cette époque, «mes espoirs se sont envolés quand j’ai vu que ceux qui ont lutté pour l’indépendance, les membres du parti UPC, ont été mis à l’écart». Pour lui, «le Cameroun n’est pas indépendant. Nous sommes encore au Franc CFA, nous n’avons même pas notre propre monnaie. Et il existe 350 partis politiques. Que voulez-vous faire avec ça? C’est absurde et le signe qu’il n’y a pas de démocratie. Alors forcément le bilan du cinquantenaire est plus négatif que positif.» La France? «Ce n’est pas de sa faute si le pays est dans cet état mais celle des valets qui sont au pouvoir ici. La Françafrique n’a pas disparu avec Sarkozy, contrairement à ce qu’il dit. Il est allé voir (l’ex-président du Gabon) Omar Bongo quand il était à peine investi à la présidence.»

Célébrations à un niveau très officiel

Le long des rues, derrière les immeubles, on aperçoit parfois la tribune présidentielle. Pour ce cinquantenaire célébré à un niveau très officiel, le président Biya a demandé à EuroRSCG de faire venir des personnalités étrangères pour participer à une conférence internationale sur l’avenir du continent. Parmi eux, des chefs d’Etat africains, deux prix Nobel de la Paix, deux anciens Premiers ministres français, Alain Juppé et Michel Rocard, et le ministre à la Coopération, Alain Joyandet. Alain Juppé reconnaît que le bilan est «contrasté. Il y a eu des échecs, mais pas seulement à cause de la France». Cinquante ans après, ce bilan laisse un goût amer aux Camerounais, qui se sentent délaissés par le pouvoir. A l’image des commémorations, qu'ils observent de loin faute d’avoir été invités à y participer.


dans tous les cas, en ce qui me concerne, je suis trop déçu parce que je pense que pendant ces jours, on devait rendre hommage à tous les héros qui ont lutté pour l'indépendance du cameroun.à toutes ces personnalités qui ont oeuvré dur pour un cameroun libre ce qui n'a pas été le cas.comme vous pouvez le constater, c'est l'image du lion qui était en tête d'affiche partout,franchement, c'est lui qui était a l'honneur comme si c lui qui fait trop de bien aux camerounais. les témoignages recueillis ci dessus montrent bien que le "soi disant cinquantenaire" à plutot été un echec total.quel a été la place de nos martyrs dans tout ça! rien sauf " l'homme lion". quel dommage..................






Début | Page précédente | 1 2 3 4 5 6 7 | Page suivante | Fin
[ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact alex1love ]

© VIP Blog - Signaler un abus