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Presse : Manifestations au Cameroun : l’opposition brutalisée Les menaces de soulèvement inquiètent le pouvoir
24/02/2011 12:25
L’appel à manifester contre Paul Biya lancé par l’opposition camerounaise a été diversement suivi ce mercredi à Yaoundé et Douala, les deux principales villes du pays. Dans la capitale, le mouvement n’a pas été suivi. A Douala, les tentatives de rassemblement ont été brutalement dispersées par les forces de sécurité. Plusieurs personnes ont été blessées. Des opposants sont sous les verrous. Les gendarmes ont été mis en état d’alerte maximale.
Bien que peu suivi dans l’ensemble du pays, l’appel à manifester contre Paul Biya lancé mercredi par l’opposition camerounaise et des organisations non gouvernementales a généré des troubles. Des violences policières ont eu lieu à Douala, la capitale économique et principale ville du pays où plusieurs manifestants ont été blessés. Mboua Massock, opposant et président de la Nouvelle dynamique nationaliste (Nodyna), et une organisation de la diaspora camerounaise avaient appelé à entrer « en révolution » à partir de mercredi contre le régime de Paul Biya, âgé de 78 ans, et au pouvoir depuis 29 ans. Par ailleurs, d’autres partis de l’opposition, dont le Front social démocratique (SDF), avaient annoncé, vendredi, une « semaine des martyrs » à Douala, en mémoire des victimes de la révolte de la jeunesse de février 2008. Laquelle avait fait 40 morts, selon un bilan officiel, et près de 200, selon certaines ONG. Plusieurs meetings étaient dans ce cadre prévus à Douala.
Douala entame la fronde
A Yaoundé, aucun mouvement de foule n’a été observé. « Ce qu’on redoutait n’a pas eu lieu. Les gendarmes qui étaient descendus dans les rues en prévision des manifestations sont repartis peu après midi », a déclaré Faustin Njikam, Directeur de publication de l’hebdomadaire Tribune d’Afrique paraissant dans la capitale camerounaise. A Douala en revanche, quelques dizaines de personnes ont tenté de manifester avant d’être dispersés par les forces de sécurité. Selon des témoins, quatre rassemblements ont eu lieu dans des quartiers de la ville : Akwa, Bonandjo, Bessenguè et Nkonmondo. Plusieurs personnes auraient été blessées lors de l’intervention de la police. « Le député du SDF, Jean Michel Nintcheu, l’opposant Anicet Ekanè et certains manifestants ont été brutalisés à coups de matraque et de jet d’eau du camion anti-émeute de la police », a indiqué un journaliste du quotidien Le Messager. Selon ce témoin, plusieurs blessés ont dû être transportés dans les hôpitaux de la ville pour y recevoir des soins. Il cite notamment le cas de Kah Walla, candidate déclarée à la prochaine élection présidentielle qui avait appelé les camerounais à se mettre « tous en rouge » mercredi pour dire à Paul Biya que « ça suffit ». « Trop d’élections truquées ! Trop de jeunes au chômage ! Trop de tracasseries pour les débrouillards ! Trop de promesses non tenues ! », martelait-elle dans son appel. « Elle a sévèrement été battue et a été transportée d’urgence dans un hôpital. Elle présentait plusieurs blessures ». D’autres manifestants auraient été interpellés puis conduits à une dizaine de kilomètres de la ville avant d’être relâchés.
Arrestations à Yaoundé
L’annonce des manifestations de ce mercredi avait plongé le pouvoir de Yaoundé dans une grande nervosité. Lundi, des policiers ont été postés devant l’école du Centre en plein cœur de Yaoundé, où des inconnus avaient inscrit « chassons Biya » sur le mur d’entrée. Selon le quotidien Le Jour, des responsables du ministère de l’Education de base se sont employés pendant deux heures le même jour, à effacer l’énorme graffiti en le recouvrant de chaux.
La veille, dans la capitale camerounaise, indique le même quotidien, Abba Aboubakar, le président de la Révolution camerounaise du peuple uni (RCPU), un parti d’opposition, avait été interpellé en même temps qu’une dizaine de responsables politiques et de la société civile. Abba Aboubakar serait toujours en détention. Lors d’une conférence de presse donnée samedi 12 février à son domicile, il avait appelé le pouvoir à entamer un dialogue pour résoudre les « carences notoires » observées dans le fonctionnement des institutions du pays. Faute de quoi, menaçait-il, le peuple organisera « à partir du 23 février 2011, des mouvements de récupération de son pouvoir ». Vendredi, Mboua Massock et Salim Ombassa l’un de ses partisans ont été également interpellés à Douala alors qu’ils distribuaient des tracts appelant à manifester dans la ville. Ils avaient été relâchés après dix heures de garde à vue.
Campagne de communication du pouvoir
A ces arrestations, le pouvoir de Yaoundé a ajouté une campagne de communication et de vigilance policière. Mardi, lors d’une conférence de presse à Yaoundé, Issa Tchiroma Bakary, ancien opposant devenu ministre de la communication et porte-parole du gouvernement, a fustigé les « illuminés » qui veulent apporter le « désordre » dans le pays. « Les amoureux de cette nation sont beaucoup plus nombreux, déterminés et plus fort que ceux qui font de l’agitation », a-t-il déclaré, ajoutant, au sujet de Paul Biya, que « lorsque cet homme aura 92 ans, ce pays sera un grand pays ».
De son côté, lit-on sur Le jour, Jean-Baptiste Bokam, le secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Défense chargé de la Gendarmerie nationale, a invité ses administrés à se tenir en alerte. « C’est maintenant que la gendarmerie doit se tenir prête. Prête à faire face aux appels de troubles à l’ordre public et au soulèvement, véhiculés ici et là. Dans ce cadre, comme dans la lutte contre l’insécurité, la recherche du renseignement occupe une place centrale. Vous devez suivre à la trace les auteurs de ces appels à la sédition. Vous devez aussi infiltrer leurs différents groupes cibles pour déceler leurs intentions et prévenir leurs actes », leur a-t-il dit, mardi.
Paul Biya qui avait fait modifier la constitution pour pouvoir se représenter n’a pas encore fait acte de candidature à la présidentielle qui doit se tenir cette année. Aucune date n’a par ailleurs été fixée pour le scrutin.
Source : www.afrik.com Publié par www.encoreplustv.com Le 23 Février 2011
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Cameroun, Controverse: La danse macabre de Issa Tchiroma sur la tombe de Pius Njawe
12/08/2010 15:22
Depuis la journée de dimanche dernier, moins de 24 heures après l’inhumation du président fondateur du Free media group, société éditrice du journal Le Messager, le ministre de la Communication a fait une sortie médiatique, que l’on fait passer en boucle dans tous les médias à capitaux publics, Crtv (poste national et à la télévision) et dans le quotidien Cameroon Tribune. Sur un ton faussement encenseur à la limite laudateur, Issa Tchiroma Bakary a fait feu de tout bois ; sans pudeur ni décence, mais dans toutes ses laideurs, il étale les plaies de son inconscience et de son manque de respect à la mémoire de l’illustre disparu, qui pourtant, ne devrait plus constituer une entrave à un système, dont il a dénoncé de nombreux dysfonctionnements.
« Pius Njawe a été cette icône iconoclaste ; il est de ces monuments qui appartiennent à la démocratie […] L’esprit de Njawe ne mourra pas avec sa disparition. Il a été une icône, nous respectons son combat. Njawe représente quelle menace ? Njawe n’a jamais milité dans un parti politique. Njawe n’a jamais représenté une menace quelconque. Njawe n’a jamais été cet homme politique qui aspirait à gouverner cette nation. Quelle menace a-t-il donc représenté au point de penser que le gouvernement peut de près ou de loin être impliqué dans cette disparition tragique ? ». De deux choses l’une : soit ces extraits tirés des propos du ministre, relèvent d’une flagornerie de mauvais goût, ou alors le ministre de la Communication qu’on présente de plus en plus dans les rangs du Rdpc, comme le premier redoutable adversaire du régime du Renouveau de Paul Biya, joue effectivement contre le chef de l’Etat qu’il veut détruire.
Hypocrisie
Les propos de Issa Tchiroma (dans sa volonté d’absoudre le défunt des pêchés dont on l’a affublés), on se rend compte que le régime du Renouveau, qui pendant une trentaine d’années, a passé son temps à : combattre, martyriser, humilier, torturer et considérer Pius Njawe tel un pestiféré, reconnaît après sa mort le mérite, la bravoure et son professionnalisme. A travers la sortie d’Issa Tchiroma se déclinent les aveux du Renouveau. Le ministre de la Communication révèle que Pius Njawe avait raison, mais que le pouvoir l’a brimé pour rien. Si tant est que le journaliste Pius Njawe était une icône ; qu’il ne représentait pas une menace pour le pouvoir qu’il ne voulait pas conquérir le pouvoir, qu’est-ce qui peut expliquer l’acharnement et les sévères dommages que lui a fait subir le régime de Paul Biya ?
Au cours de ses précédentes sorties, le ministre de la Communication avait déjà indiqué que Pius était pour lui, son compagnon de route.
Si l’on prend Issa Tchiroma au mot, peut-on expliquer son absence aux obsèques d’un journaliste qu’il considère comme l’un des plus grands du continent ? Des sources dignes de foi indiquent que le ministre Tchiroma, n’était pas dans la suite présidentielle pour justifier un empêchement. Alors que se déroulaient les obsèques de Pius Njawe à Babouantou, pendant que la mobilisation de la presse était indescriptible, le ministre de la Communication s’échinait dans un coin du quartier « Briqueterie » à Yaoundé, à créer, installer des comités de base et autres démembrements de son pseudo parti politique.
Qui sont les profanateurs ?
« Il y a eu des journalistes, mais pas tous, des hommes politiques en quête de notoriété qui ont voulu instrumentaliser cette presse, récupérer ces obsèques. A ceux-là, je dis simplement que leur comportement est un déshonneur, une profanation à la douleur de la famille et à la mémoire de Njawe. Ils ont fait preuve d’amateurisme politique. Ils se sont trompés à la fois de bataille et d’adversaire… ». On aurait dit là qu’Issa Tchiroma qui se regarde dans son miroir, fuit son ombre. Son comportement est d’une abjecte puanteur qu’il se reproche d’être allé si loin dans la profanation. Son agitation et les basses manœuvres de manipulation et de division sur les proies faciles que constitue la progéniture de Pius Njawe ressemble à un acharnement. Si à l’en croire, Pius Njawe ne représentait aucun danger de son vivant, comment expliquer que mort, il suscite autant de haine, de jalousie et de mépris ?
Comprendrait-on un jour, ce qui a justifié l’obsession du chef de l’Etat à travers son ministre de la Communication à donner de l’argent pour l’organisation des obsèques de Pius Njawe ? Qu’est ce qui explique que la prétendue (minable ?) somme d’argent débloquée, soit disant par Paul Biya, ait été remise à la famille en pièces détachées ? Certaines sources affirment que l’un des hauts cadres du Mincom, a fait le déplacement de l’aéroport de Douala, le jour de l’arrivée de la dépouille au Cameroun, avec dans ses valises une somme de cinq millions Fcfa, et la mission de convaincre, de manœuvrer la « cible » à tomber dans le piège tendu.
S’il arrivait que Pius Njawe se retourne de son cercueil au moment où, la censure s’abattait sur Célestin Monga, son compagnon de lutte, y aurait-il un problème de choix entre le système du Renouveau et son camarade de combat ? Dimanche après l’inhumation de Pius Njawe, les antennes de radio et de télévision d’Etat ont été envahies et infestées par les collaborateurs et autres affidés du ministre Tchiroma. La danse macabre du gouvernement, dans ses envies d’exister, de se rendre « utile » dans l’organisation des obsèques de Pius Njawe, révèle que le régime du Renouveau en avait tellement contre Pius Njawe, au point de n’avoir pas résisté à se venger même sur sa dépouille.
Au lieu de s’inviter de manière désordonnée et sans vergogne, au point de revendiquer la préséance aux obsèques de Pius Njawe, l’acte de grandeur qu’aurait pu prendre Issa Tchiroma était celui d’obtenir auprès du chef de l’Etat Paul Biya, des obsèques officielles ou nationales. L’illustre disparu les méritait bien. Issa Tchiroma devrait commencer par balayer dans son propre jardin, avant de demander « qu’on respecte la mémoire de Njawe, qu’on honore son engagement à faire de la démocratie au Cameroun, une démocratie véritable ». Pour l’instant, c’est lui le chef d’orchestre de la profanation. Quel habile apprenti-sorcier !
source: le messager
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ADELE RUFINE NGONO alias LADY PONCE
27/07/2010 20:43
encore appellée LA PONCEUSE lady ponce n'a pas fini de nous faire danser.ses 3 albums n'ont fait qu'émerveiller le public camerounais. LE VENTRE ET LE BAS VENTRE (2006), CONFESSIONS(2008) et maintenant BOMBE ATOMIQUE(2010). on peut dire que la divas ne nous laissera jamais indifférent avec des clips bien soignés et des chorégraphies toujours nettes.n'en parlons pas de ses danseuses.de vraies bombes!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!.
que dire de plus?laissons la parole aux CANALS 2OR qui se tiendront en mars 2011
BUENAS VACACIONES A TODOS
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