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Ribéry : "Je redonnerai du bonheur aux gens"
23/07/2010 16:49
"Il y a des moments déprimants et difficiles dans une vie. Ce que je vis actuellement, ça en fait partie. Je dois maintenant ressortir du trou. Ce n'est pas facile, mais je dois surmonter ça." Au moins, Franck Ribéry ne cherche pas à faire semblant. Mis en examen en France pour relation tarifée avec une prostituée mineure, la star du Bayern et de l'équipe de France porte le poids d'une image abîmée, d'une niveau sportif incertain, et maintenant de la menace théorique de trois ans de prison et de 45.000 euros d'amende. C'est lourd. "Je n'ai pas de crainte pour mon avenir, ni avec l'équipe nationale, ni avec le Bayern même après une journée au Palais de justice à Paris, déclare pourtant l'ex-Marseillais au journal allemand Bild, auquel il a accordé un entretien paru vendredi. Je n'ai rien fait de mal en conscience. Je suis certain de pouvoir retrouver du crédit auprès du public, certains doutent peut-être de moi aujourd'hui, mais je redonnerai du bonheur aux gens. Il y aura encore des dribbles, des buts, des émotions positives, comme dans le passé."
"Le plus important, c'est le football"
Ce passé glorieux, Ribéry s'y raccroche comme à une bouée. C'est pour redevenir ce joueur unique, décisif et insouciant qu'il se bagarre actuellement, aidé par "sa famille, particulièrement (sa) femme, et l'ensemble du club". "Dans les moments difficiles, dit Ribéry, quand vous avez un problème d'ordre privé, on sent un club qui vous soutient et qui a beaucoup de coeur. Au Bayern, je suis entouré par des gens bien, qui me retiennent dans ma chute." Le Français se dit par exemple très touché par le zèle avec lequel les dirigeants lui ont envoyé deux spécialistes pour se remettre de son opération à l'aine, pratiquée dans la foulée de la Coupe du monde. Il l'avait aussi beaucoup entouré au printemps dernier après son audition. Cela avait pesé dans sa décision de prolonger son contrat jusqu'en 2015.
"Le plus important pour moi, c'est le football, assène Ribéry. Je veux juste me concentrer là-dessus. Ma rééducation m'y aide. Avoir Thomas et Gerry à mes côtés (NDLR : les deux praticiens mis à disposition par le club), cela m'aide à retrouver le sourire. Une chose est sûre, quand je serai à nouveau entouré par toute l'équipe, je serai à nouveau très heureux". Et performant ? Bild fait observer que Louis Van Gaal s'est plaint, récemment, de ne pas encore avoir vu le grand Ribéry. "J'ai envie de faire une très, très bonne saison. Gagner la Ligue des champions est mon grand objectif. Je suis encore triste qu'on ait perdu la dernière finale, avec moi suspendu. Je suis très motivé, j'apporterai du bonheur à tous les fans à travers l'Allemagne."
"Aucune relation entre le privé et les blessures"
"Il n'y a strictement aucune relation entre mes problèmes privés et mes multiples blessures, cherche encore à rassurer Ribéry, conscient d'affronter désormais une montagne de scepticisme. Dire que je vais rendre au Bayern tout ce qu'il me donne n'est pas le mot adapté, car j'ai toujours donné mon meilleur. Je veux mouiller le maillot à chaque match. J'espère jouer le premier match de la saison contre Wolfsburg. C'est bien parti. Je veux être dans une forme impeccable ce jour-là." Pas un mot sur l'équipe de France, qui jouera le 3 septembre contre la Biélorussie son premier match de qualifications pour l'Euro 2012, et pour lequel il risque d'être écarté jusqu'à nouvel ordre en raison de sa mise en examen.
Commentaire de xiaoxiao456 (20/12/2010 08:38) :
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Au moins 61 morts dans une collision ferroviaire en Inde
19/07/2010 21:19
Dramatique accident de train en Inde. Au moins 61 personnes ont été tuées tôt lundi matin dans une collision entre deux trains dans l'est du pays. Le bilan reste incertain, de nombreux passagers étant encore prisonniers des décombres. On ignore pour l'heure les causes de l'accident, mais le ministre de la Protection civile du Bengale occidental a affirmé que la catrastrophe était due à une négligence et non à un acte de sabotage. Lire la suite l'article
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Au moins 61 morts dans une collision ferroviaire en Inde
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Srikumar Mukherjee a par ailleurs indiqué que l'accident avait fait 61 morts, et 165 blessés, dont 89 graves. La ministre des Transports a quant à elle indiqué que 500.000 roupies (10.500 dollars) seront versés aux familles des disparus et 100.000 roupies aux familles des blessés.
Un train express se rendant à Calcutta a percuté vers 2 heures lundi matin (20h30 GMT dimanche) l'arrière d'un autre train, qui était à l'arrêt dans une gare du district de Birbhum, à environ 200 km au nord de Calcutta. L'impact a été tellement violent qu'un des wagons arrières du train à l'arrêt a été projeté en l'air sur un pont enjambant les voies, où il est resté accroché.
«J'ai été éjecté»
Aucune information n'était disponible sur les causes possibles de la collision, qui intervient deux mois après une collision ferroviaire dans ce même Etat, attribué à un sabotage des rebelles maoïstes, qui avait fait 150 morts. Un train assurant la liaison Calcutta-Bombay avait déraillé et s'était encastré dans un train de fret arrivant sur la voie d'en face. «Nous avons toujours des doutes à l'esprit sur qui est derrière cet accident», a déclaré à la presse la ministre des Transports ferroviaires, Mamata Banerjee, elle-même originaire du Bengale occidental.
«J'étais endormi sur la couchette du haut quand il y a eu un énorme choc comme une explosion. J'ai été éjecté de la couchette et des gens ont commencé à crier, c'était la panique totale», a raconté à la chaîne Times Now un rescapé.
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Les bulldozers pavent la route de l’intégration en Afrique centrale
19/07/2010 21:09
N’DJAMENA, 16 juillet 2010—A Brazzaville en République du Congo s’est tenu, le 7 juin 2010, un sommet extraordinaire de la Communauté Économique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC) afin de propulser davantage la dynamique d’intégration au sein de ce groupement sous-régional qui compte six États membres.
Environ trois mois plus tôt, les deux pays les plus enclavés de la CEMAC, la République centrafricaine (RCA) et le Tchad, ont franchi une étape décisive en vue de se rapprocher davantage du Cameroun.
L’événement n’est pas passé inaperçu ce 19 mars 2010 dans le petit village de Baboua (Sud RCA) non loin de la frontière camerounaise : visiblement dans ses beaux jours, le président de la RCA, François Bozize, harangue la foule du haut d’un bulldozer à l’occasion de la cérémonie de pose de la première pierre. « Populations de Baboua, c’est la fin de vos souffrances qui est annoncée ! », annonce-t-il. Deux jours plus tard à Dibi, côté camerounais, c’est au tour des autorités locales d’apporter la bonne nouvelle aux milliers de villageois rassemblés pour la circonstance : « bientôt vos villages seront connectés au reste du pays et du monde », a lancé un maire camerounais.
Dans les deux cas, l’événement consistait à la pose de la première pierre du bitumage du tronçon le plus attendu de tous sur les corridors Douala-N’Djamena et Douala-Bangui, à savoir l’axe Garoua Boulai-Ngaoundéré (Cameroun). Il s’agit d’un tronçon long de 254 km qui pose le plus de difficultés aux transporteurs à l’intérieur du Cameroun avant de déboucher sur Ngaoundéré. Son bitumage sera d’un apport important en termes de temps gagné pour routiers en partance pour N’Djamena (Tchad). Du côté de la RCA, le projet du bitumage le plus attendu porte sur l’axe Bouar-Garoua Boulai long de 157 km. Quant au pont sur le Logone destiné à relier le Tchad et le Cameroun et l’axe de 7 km qui va connecter la frontière camerounaise à N’Djamena, les installations de chantier sont terminées et les travaux sont lancés. Les pays ne sont jusque-là que reliés par un pont à une seule voie, rendant la traversée de la frontière difficile pour les camions.
Au-delà des considérations techniques, c’est bel et bien le défi du brassage des populations que le Projet Régional de Facilitation du Transport et du Transit dans la zone CEMAC est en passe de relever. Financé initialement à hauteur de 201 millions de dollars par l’Association internationale pour le développement (IDA) – la branche du Groupe Banque mondiale qui finance les opérations dans les pays à faible revenu –, le projet a pour objectif de faciliter le commerce régional entre les pays membres de la CEMAC et améliorer l’accès des pays aux marchés mondiaux. Il vise également le renforcement de l’union douanière de la CEMAC et la réduction des obstacles physiques et autres le long des corridors Douala-N’Djaména et Douala-Bangui.
Deux ans après l’accord initial, un financement additionnel de 217 millions de dollars a été approuvé en 2009 afin de combler les écarts de financement notés dans la réhabilitation des infrastructures routières et ferroviaires.
Le projet s’inscrit dans le cadre d’une vaste initiative sous-régionale financée conjointement par l’IDA, la Banque africaine de développement et l’Union européenne.
L’esprit d’intégration en marche
Sur le terrain, la mise en œuvre du projet a commencé à bousculer certaines pratiques dans la sous-région. Au-delà des réalisations physiques, il est né « un nouveau mécanisme de transit qui semble s’installer dans la région », selon Idriss Goukouni, directeur-général des transports du Tchad. « Le transport et le transit sont désormais pensés dans leur environnement régional », a renchéri Noël Gbeba, conseiller au ministère de l’Équipement de la RCA. L’enjeu de ce projet est de taille car il constitue la réponse à la situation toute particulière de la région : « dans l’histoire des transports, les corridors Douala-Bangui et Douala-N’Djamena, ont été les plus difficiles à cause des harcèlements de tout bord et des kyrielles de taxes qui s’abattent sur le seul revenu du transporteur », s’est plaint Ngam Ousmane, gérant de Transimex, une entreprise basée à Douala. En définitive, « ce qui est plus important dans ce projet c’est qu’il a crée un dialogue entre nous et les acteurs du transit et du transport », a soutenu Christian Charles Ossono, officier supérieur aux douanes camerounaises.
Les témoignages de ces responsables indiquent que quelque chose est entrain de changer sur les corridors qui relient le Cameroun, le Tchad et la RCA. Les esprits sont plus ou moins préparés, à en juger par la mobilisation des chauffeurs et les transporteurs dont les différents syndicats soumettent désormais des plateformes revendicatives communes qui ratissent au-delà de leurs frontières traditionnelles.
« Grâce aux opportunités de contact qu’on a eues dans le cadre du projet, nous avons réussi à harmoniser nos différents points de revendication entre Camerounais, Tchadiens et Centrafricains », nous a expliqué Touk François Rève, président régional de l’Union Nationale des Camionneurs Professionnels du Cameroun. « Avec le projet, je peux me permettre d’avouer que la discipline qui manquait dans le comportement des chargeurs et chauffeurs commence à s’installer », s’est réjoui Laurent Nlemba, chef d’une station de pesage côté camerounais.
Partage des connaissances et enrichissement mutuel
L’esprit régional apparaît également dans nombre de rapports d’activités, fiches techniques et résultats de recherches sur la réalité des transits et transport dans la région qui circulent facilement entre les mains des experts et autres décideurs impliqués dans le projet. « Le nombre d’études de qualité réalisées dans le cadre de ce projet constituent pour la région en elles seules une mines de données dont l’exploitation efficace nous permettra de solutionner tout le problème de transit et de transport qui se pose dans la région », témoigne le Tchadien Goukouni.
L’effet recherché par le Projet Régional de Facilitation du Transport et du Transit dans la zone CEMAC est en voie de maturation sur le terrain : un mouvement d’ensemble est amorcé autour des préoccupations liées aux mouvements des populations et marchandises au-delà des frontières. Cette idée est de plus en plus portée par les hautes autorités politiques.
Lors de sa récente visite en RCA, la vice-présidente de la Banque mondiale pour la Région Afrique, Obiageli Ezekwesili, a eu droit aux mots de reconnaissance du ministre d’État au Plan à l’Économie et à la Coopération internationale, Sylvain Maliko. Pour lui, « ce projet est celui qui a le plus d’impact réel et immédiat sur nos populations et sur le désenclavement de la RCA, dont le réseau routier s’était retrouvé dans un état de délabrement avancé ».
En effet, la RCA compte 24.000 km réseaux routiers dont 15.000 km de réseaux ruraux et 9 000 non praticables. Il y a 50 ans, la voie fluviale du pays était navigable 11 mois sur 12 sur le fleuve Oubangui, mais maintenant elle l’est à peine 7 mois sur 12. Les problèmes financiers sont omniprésents : le fonds d’entretien routier génère moins de six millions de dollars par an, montant insuffisant pour entretenir les routes en RCA ; et le gouvernement dépend entièrement de l’aide extérieure pour toute réhabilitation substantielle. Dès lors, il est évident que le projet revêt une importance cruciale pour ce pays.
Le mouvement observé autour de ce projet, à travers l’intérêt affiché par les autorités politiques, les hiérarchies douanières et policières, les transporteurs et les chauffeurs semble marquer le commencement de l’intégration dans cette région d’Afrique centrale.
« L’attente a été longue pour nous, nos partenaires et pour tous les cadres qui avaient donné le meilleur d’eux-mêmes pour rendre possible la mise en œuvre de ce projet », a expliqué Jean-François Marteau, chef d’équipe du projet pour le compte de la Banque mondiale.
Les États membres de la CEMAC sont le Cameroun, le Gabon, la Guinée équatoriale, la République centrafricaine, la République du Congo et le Tchad.
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