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RECRUTEMENT A LA FONCTION PUBLIQUE
01/09/2009 12:58
Informations |
Tout en luttant contre le chômage des jeunes, ces recrutements visent à résorber les problèmes spécifiques des ministères. Dans une sortie médiatique le week-end dernier, Emmanuel Bonde, ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative a annoncé, pour la période 2009-2010, le recrutement par l’Etat de 13 000 personnels, toutes catégories confondues. Ce chiffre concerne non seulement les recrutements déjà entamés, mais aussi ceux à venir. En effet, environ 4000 personnels ont déjà été absorbés par la Fonction publique dans les secteurs de la santé et de l’informatique. Pour les modalités, elles vont de l’intégration sur titre à la contractualisation, en passant par les concours directs, les concours de formation et autres.
Les concours professionnels sont réservés aux fonctionnaires en activité. Ici la promotion en grade ou le changement de cadre sont privilégiés. Quant aux concours spéciaux, ils permettent la promotion des personnels de l’Etat relevant du code du travail (contractuels, agents contractuels, etc.). C’est donc au total 1870 personnels qui sont appelés à connaître une promotion interne.
Mais le plus grand nombre revient aux concours de formation et recrutements dits nouveaux, soit environ 8300 personnels. L’intégration sur titre concerne les lauréats des concours administratifs tels que l’ENAM et dans une certaine mesure l’Ecole normale supérieure. Celle-ci comprend les concours de formation ayant pour finalité le recrutement à la Fonction publique. Mais aussi les concours directs pour absorber des techniciens déjà formés et les tests de sélection en direction des personnels de l’Etat relevant du code du travail. Ces personnes ayant en commun le fait de n’avoir jamais exercé à la Fonction publique avant leur enrôlement. Le but étant de combler le manque de personnel exprimé par les différents ministères. Un déficit dû entre autre au départ en retraite, dont la moyenne annuelle est de 5000 depuis quelques années.
Pour ce qui est du déroulement de ces recrutements, si certains ont déjà été faits, un calendrier définitif reste à préciser pour la grande majorité. Même si au ministère de la Fonction publique et de la Réforme administrative on avoue avoir accusé un retard sur les prévisions de début d’année. Il y a également la contractualisation, pour faire face entre autres à la limite d’âge. Et par rapport à ce volet, le processus d’engagement définitif des temporaires, est en bonne voie. Actuellement le dossier des primes de bonne séparation pour les temporaires non retenus est en cours. Pour Germain Koukolo, directeur du développement des ressources humaines de l’Etat, dès que leurs diplômes seront authentifiés, ils seront payés.
Jocelyne NDOUYOU-MOULIOM, Cameroon Tribune |
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mémé,ma ptite voisine
27/08/2009 15:38
elle c ma petite voisine et elle se nomme lucie sous le surnom de "mémé".elle est taquineuse mais gentille et possède un sourire à faire oublier ses soucis.
je l'adore...
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LE PALAIS DES SPORTS DE WARDA A YAOUNDE
14/08/2009 17:12
Cameroun: Le palais des sports de Yaoundé inondé
Par Sandrine Gaingne - 26/05/2009
C’est suite aux pluies qui sont tombées pendant la nuit du 24 mai et la matinée du 25 mai 2009
Décidément, la série noire des inondations au centre ville de Yaoundé n’en finit pas. Le Mfoundi est encore sorti de son lit suite à une pluie torrentielle qui s’est abattue sur la cité capitale au cours de la nuit du 24 mai à la matinée du 25 mai2009. Une inondation qui a interrompue la circulation à certains endroits au centre ville notamment au niveau de la poste centrale et au niveau du carrefour Warda, où le nouveau palais des sports a subit les foudres de cette pluie.
Il était difficile pour les véhicules de s’aventurer dans la marre d’eau qui recouvrait le palais des sports et ses environs jusqu’à 11 heures du matin. Ce sont quelques piétons courageux qui ont pu le faire et là alors, ils avaient de l’eau jusqu’aux hanches, et étouffés par les ordures ménagères et d’autres déchets. Quand les eaux sont descendues, des responsables du ministère des Sports et de l'Education physique et ceux de la Communauté urbaine de Yaoundé (Cuy) se sont retrouvés en mi-journée sur les lieux de l'inondation. Au terme des échanges entre les différentes parties, il ressort qu'il faut dégriller en urgence la bouche de l'Ekozoa afin que les eaux puissent librement circuler. Il est aussi question d'aménager le canal de l'Abierge, lui-même enterré par les immondices et la terre. Approchés par la partie camerounaise pour la réalisation de ces travaux, les Chinois ont répondu par la négative dans ce sens que lesdits travaux ne rentrent pas dans leur cahier de charges. Celui-ci, ne prévoit que l'aménagement des cours d'eau à l'intérieur du Palais des Sports.
© Journalducameroun.com Palais des sports de warda, Yaoundé
Aménagement du Mfoundi Les populations de Yaoundé ont nourrit l’espoir de voir le centre ville sans inondations, depuis que le Projet d’assainissement de Yaoundé (pady) a lancé le 25 février 2009, le projet sur la construction du canal du Mfoundi. Une initiative qui visait à résoudre définitivement l’épineux problème des inondations constamment vécues par les populations et qui bloquent généralement la circulation, dans le centre ville notamment au niveau du carrefour de la poste centrale. Ce travail de recyclage du lit du Mfoundi qui devrait rendre plus fluide l’écoulement des eaux et éviter les inondations et les débordements du lit était alors considéré comme une véritable thérapie d’un mal qui donnait à Yaoundé un visage peu reluisant en saison pluvieuse. Le 5 mai dernier, une forte pluie avaient inondé le centre ville, remettant en cause les délais de finition des travaux. Car d’après les ouvriers qui travaillent en ce moment sur ce chantier, à chaque grande pluie, les travaux recommencent à la case départ. Selon Hilaire Fonkem, le porte parole du chef chantier, on ne sait pas si on pourra livrer le projet à temps, malgré les heures supplémentaires du personnel visant à rattraper le temps perdu. Le moins que l’on puisse dire est que le chantier est au ralenti, et avec le retour des pluies, les Yaoundéens pourraient assister, à un arrêt définitif des travaux de ce chantier au lieu dit abattoir. La solution évoquée par certains riverains était de procéder à des déviations, mais celles-ci pourraient d’avantage endommager les installations.
SOURCE/ le journal du cameroun
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